From: Rémi Clavier (remi.clavier@wanadoo.fr)
Date: Sun Jun 04 2000 - 14:33:51 CEST
Hi...
You can find enclosed a french version of readme.htm.
it's a first try and perrhaps bugs are in this document.
Michele may put this document on the muLinux Site if he want.
It's people to translate other muLinux documents?
Regard's
Rémi
Ceci est la documentation, mainte fois mise à jour, de mulinux, la distribution microscopique développée par Michele Andreoli. la traduction Française a été effectué par Rémi Clavier remi.clavier@wanadoo.fr. à partir de la traduction anglaise de Enrico Cavalli enrico.cavalli@mi.nettuno.it
muLinux (µ-Linux) est une distribution entièrement configurée, minimaliste, presque complète et orientée application de Linux réalisée en Italie. Elle tient sur un simple 1722K floppy
L'un des desseins de ce projet est de démontrer la puissance et l'volutivité
de ce système d'exploitation
Le Noyau 2.0.36 est compilé pour les 386 (sans co processur) et aussi modulérisé
que possible.
Les binaires sont pris de douzaines de distributions et de floppy de boot de mes trois gros diques durs.
Vous êtes vous interrogé sur le fait de savoir comment, lorsqu'il existait
deux programmes de même nom, je faisais mon choix?J'ai simplement pris le plus
petit des deux et celui qui ne nécessitait que ibc.so.5.
Je ne veux pas vous ennuyer en vous parlant de tous ce que las hackers ont fait
pour récupérer de la place. Il vous suffira sans doute de savoir que j'ai réécrit
en C la commande expr
, parce que je ne pouvais pas comprendre
pourquoi il fallait 50328 octets quand j'arrive à faire le même travail avec
seulement 4586 octets... De la même manière, j'ai remplacé la commande grep
par sed
et d'utres choses du même genre.
mulinux n'est pas destiné aux afficionados de la souris, qui n'apprécieront pas une interface spartiate mais pour les vrais "fans" de linux en général et pour les curieux qui n'hésiteront pas jeter un coup d'œil dans les scripts pour comprendre comment un "hack" comme mulinux sendmail( seulement 1216 octets) est réellement capable d'envoyer des mails avec une adresse de retour correcte.
En tout état de cause, un "linux portable" semble idéal dans un grand nombre de situations : maintenance à différents niveaux, démonstration, systèmes intégrés ou plus simplement pour le plaisir de le booter de temps en temps, sans autre raison que le plaisir.
Des tas de PC différents marchent très bien. Le minimum minimorum est un 386 avec 8 Mb de mémoire. Installer mulinux avec seulement 4 Mb est un peu jouer à la oulette russe... Un coprocesseur, mathématique n'est pas nécessaire d'autant plus que mulinux a une émulation interne.
Un disque dur n'est pas nécessaire. Bien sûr, vous pouvez monter les partitions existantes sur votre disque dur si vous la voulez. Les disques SCSI ne sont pas directement supportés à cause du nombre immense de carte contrôleur qui existent. Si vous désirez utiliser le SCSI, lisez avec profit Comment puis-je personnaliser muLinux?
Pour permettre de personnaliser la partition root, mulinux a un script( setup
,
see setup -h ) qui permet de lire (setup -r
) et écrire
(setup -s
) les profiles muLinux de et vers le floppy, le type de
clavier, les données ethernet, où la souris et le modem sont situés, quel
module le noyau doit charger à chaque lancement, le numéro de téléphone de
votre ISP et ainsi de suite...
Dieu merci, vous avez à vous occuper de ce profil que la première fois que
vous bootez votre floppy.
L'utilisateur, cependant, a la possibilité de taper une commande telle que
setup -f ppp ou setup -f net
à chaque fois qu'il le désire.
(-f
signifie "forcer"). Ou même, si vous le désirez, il
peut taper setup -f -a
(dans laquelle a signifie "all").
Pour permettre l'utilisation de floppy dans différents cas, la
commande gère une espèce de multi-configuration que vous pouvez changer aussi
souvent que vous le désirez. Vous pouvez sauver différents profiles avec des
noms différents. Par exemple, avec setup -r "home
vous pouvez
charger un profil qui le supporte que ppp, avec setup -r "pc12"
vous pouvez charger un profil avec une carte ethenet et la gestion de l'IP pour
le pc N° 12.
Tout ce qui définit cela est dans le répertoire /init
du
segment de BOOT, alors que le profile courrant en situé dans /setup.
Quand vous bootez muLinux, il vous interroge sur le profil à charger. Des profils spé"ciaux existent aussi. Ils sont nommés "NONE" et "lock". Avec "NONE", le setup saute toutes les opérations et si votre dernière configuration est nommée "lock", le setup la charge sans vous demander de confirmation.
Avec la commande setup
vous pouvez aussi charger en mémoire un
module compressé ainsi qu'effectuer d'autres actions.
Depuis la version 2.0, muLinux est capable de s'installer lui même non seulement en RAM, mais aussi de manière permanente dans un répertoire DOS ( installation UMSDOS ) ou dans une partition libre de votre disque dur (installations EXT2). Vous n'avez besoin que de 8 à 10 Mo de mémoire quelque part sur votre disque.
Pour réaliser ce type d'installation, le noyau muLinux est fourni avec le
support de UMSDOS et de DOS et nous avons ajouté loadlin.exe
sur
le
floppy. Dans les deux cas, loadlin est utilisé pour
booter muLinux et il est nécessaire de le lancer depuis le prompt DOS avec la
commande linux.bat
. Ce choix est justifié par le fait que muLinux
a été conçu et réalisé pour être utilisé de manière temporaire sur des
PC sur lesquels ils ne sont pas seuls. Nous voulons pouvoir disposer
d'installations non-intrusives et que l'on peut retirer facilement.
L'installation UMSDOS
met en place ce concept: vous pouvez
partager un espace disque entre Linux et DOS; vous n'avez pas besoin de re
partitionner vos disques dus et vous pouvez retirer mulinux sans effort spécifique?
L'installation EXT2, au contraire, est juste une curiosité et est la seule intrinsèquement dangereuse : muLinux va formater deux partitions choisies (comme toute installation de Linux à partir de disquettes) et il est possible, pour un utilisateur novice et inexpérimenté, de choisir la mauvaise partition. D'un autre coté, si vous avez une partition séparée suffisamment grande, pourquoi ne pas installer un "vrai" Linux?
Les versions postérieures à la 5.1 disposent aussi d'un autre type
d'installation UMSDOS :le loop filesystem
. Elle utilise la fameuse
"loop Linux device", un système de fichier complet intégré
dans un fichier DOS normal et situé sur c:\linux.
A ce point de votre lecture, vous devez vous interroger sur le titre donné
à ce paragraphe. Ce que nous avons décrit jusqu'à maintenant n'est pas réellement
une installation mais seulement un "processus de clonage". Le système
de fichier muLinux complet (y compris les interfaces montés) est
simplement copié ( avec la commande cp -a
, c'est vrai) aux
endroits choisis.
Juste quelque mots d'avertissement: Ne jamais laisser votre lecteur de CD ou un volume NFS monté lorsque vous clonez muLinux si vous ne voulez pas que l'univers entier soit recopié sur votre partition DOS!!!
Les systèmes muLinux clonés fonctionne exactement comme les systèmes normaux en RAM. Les opérations de setup et d'auto configuration sont compatibles entre ces trois modes d'installation. L'utilisateur ne verra aucune différence.
ceci fait une différence fondamentale avec d'autres distributions de Linux sur floppy qui sont très dépendant du floppy pour fonctionner.
Depuis la version 7r4, une nouvelle sorte de clonage, (via/bin/roclone) est fournie. Elle est principalement utile pour intégrer une copie gelées du système de fichier actif sur un support (qui peut être read only et bootable) formaté compatible DOS.. Très utile pour les clones sur Iomega ZIP, CD-R (mécanisme El-Torrito ) et autres dispositifs ( le SCSI est possible).
D'un point de vue technique, tout se passe normalement, mais après que muLinux essaye de monter son propre USR du floppy, la vérification est faite sur le CDROM IDE, le CDROM SCSI, le ZIP IOMEGA et autres. Si elle réussit, muLinux monte l'image USR ( un fichier normal dans la directory boot/) utilisant le mécanisme Linux "loopback" et utilise une combinaison de système de fichier mixte : RAMDISK et support "read only" ensemble.
L'"addon" EXT doit être présent pour cette fonctionnalité. J'ai personnellement testé IOMEGA ZIP et HP CD-Writer M820.
Le processus de clonage (voir muLinux et la brebis
Dolly), qui peut être fait par l'utilisateur à n'importe quel moment à
l'aide de la commande clone
est automatiquement lancé si les système
reconnaît qu'il n'a pas suffisamment de mémoire(<4M).
Dans ce cas muLinux reste en "runlevel 3" ( seules les commandes /bin sont disponibles), crée immédiatement un fichier de swap dans la partition DOS et démarre le clonage lui même sans délai.
Quand vous voyez le message Automatic reboot in progress
,
retirez le floppy et redémarrez le DOS. Au prompt DOS, tapez cd c:\linux et
linux.bat. Le clone mulinux sera alors lancé et se mettra en route.
Le premier démarrage de ce nouveau système est complet comme un être humain le jour de sa naissance : si muLinux s'aperçoit que quelques composants sont manquant (typiquement /usr et X11), il démarre la copie du floppy vers le disque dur. Si vous clonez manuellement un système muLinux à partir d'un système monté en RAM et déjà configuré, le système cloné sera déjà "prêt à l'emploi".
Attention, sur un 386 avec 4Mo de mémoire, le processus de clonage et de réanimation peut prendre plus de 15 minutes la première fois, mais vous aure la joie de voir Xwindows démarrer sur votre 386!!
Depuis la version 3.0, de nom de code "Hammameth", muLinux est capable d'installer son système de fichier root via NFS (Network File System), sous condition que vous disposiez un serveur de réseau supportant ce traditionnel protocole TCP/IP en état de marche.
le service nfsroot est configuré avec la procédure setup usuelle (voir The setup command): muLinux vous interroge pour configurer les paramètres ethernet et pour spécifier la racine nfs, c'est à dire le répertoire distant contenant le système Linux (qui peut bien sûr être une copie de muLinux).
Le noyau muLinux a été modifié pour monter la "vraie racine" seulement après la configuration des drivers réseau : le noyau muLinux est modulaire, ainsi il n'est pas possible de configurer ces paramètres à l'aide des paramètres usuels du boot (nfsroot= and nfsaddrs=). le patch est si petit (une ligne seulement) qu'il peut faire l'objet d'un mail ou même être écrit sur le dos d'un timbre poste.
par exemple, supposons que votre client IP muLinux ait une adresse 192.168.1.x ( en notation pointée) et que la racine nfs soit /remote/root Le fichier /etc/export sur le serveur doit être quelque chose comme
#/etc/exports /remote/root 192.168.1.0/255.255.255.0(rw,no_root_squash)
Une fois que vous avez sauvé le profile sur la disquette ( avec votre nom favori par exemple "nfs"), vous n'avez qu'à spécifier le profil "nfs" lors du redémarrage suivant de muLinux : muLinux reconfigurera automatiquement le réseau et montera la racine nfs nfs_root.
Si le système distant est lui même un système muLinux, il se peut que le muLinux distant vous demande de rebooter une fois de plus au premier redémarrage. Excusons le: comment peut-il savoir que vous avez déjà répondu à la question?
Pour préparer le système distant, il suffit de copier l'arbre muLinux sur la directory /remote/root/ du serveur. Une autre solution est d'exporter la racine complète du serveur root (Attention, cette méthode n'est pas fiable du point de vue de la sécurité)
Si vous avez une partition EXT2 séparée sur le serveur (par exemple /dev/hdb1) vous pouvez aussi la préparer avec une distribution de Linux en état de marche et l'exporter vers les stations de travail. Dans ce cas, il suffit de monter cette partition au moment du boot (placer la ligne
dans l'un des des scripts du serveur dans le but de le rendre accessible aux clients.
Le fichier /etc/fstab doit contenir quelque chose comme
/dev/nfs / ext2 defaults 1 1
Si le client a besoin d'espace de swap, il doit utiliser un disque local. Le noyau muLinux n'est pas capable (à l'heure actuelle) de "swapper" via NFS.
Pour les machines avec peu de mémoire (< 4M de RAM), le processus de démarrage est légèrement changé. : muLinux vous demande immédiatement si vous voulez cloner le système sur le disque (comme dans les versions précédentes), ou il vous demande de monter via NFS. Avec peu d'éffort, il est ainsi possible de transformer votre 386 en une station de travail sans disquette basée sur Xwindows Linux. Cette solution est très bon marché et efficace pour beaucoup d'écoles avec des laboratoires d'informatique obsolètes (tels ceux que l'on peut trouver dans beaucoup d'institus techniques en Italie)
______________________________ __|__ ___|___ PPP-link vers le fournisseur | | réseau local | | ______ internet | PC | 192.168.1.0 |Routeur|--|modem |------------------> | | | Linux | |______| x.x.x.x |_____| |_______| (adresse IP dynamique) pppd
Un pare feu de filtrage IP est conçu pour contrôler le flux de paquet en se repérant sur la source, la destination et le type de paquet. Dans muLinux (version postérieures 2.7 setup ipfadm), vous disposez d'un système de masquage IP et d'une protection générique sur un serveur Linux, permettant aux calculateurs connectés sur le réseau IP interne (et donc ne disposant pas d'une adresse IP enregistrée) de se connecter à Internet au travers d'une "boite" muLinux.
La disquette est faite de 1722 blocs de 1024K chacun. Elle est logiquement divisée en trois parties:
/
;La disquette complémentaire X11 "addon" (17722M) est à l'opposée, fournie en format (tbz ( tarée et bzippée).
Le noyau est chargé, comme d'habitude, via LILO. Quand le noyau est chargé, il exécute /sbin/init.
BOOT est monté du floppy sous /startup
, alors
que USR est monté sous /usr
en tant que ramdisk.
L'accès à /startup
nous rend capable de sauver de
manière permanent sur le floppy votre profil linux.we are able to permanently
save to floppy our muLinux profile:Voir la section La commande
Setup.
Le script de démarage prend également à sa charge de créer une quatrième
partition en RAM sous /tmp
.
Le noyau Linux a des possibilités limitées d'accepter des informations au démarrage sous la forme var=valeur. En général, cette possibilité est utilisée pour alimenter le noyau avec des informations concernant les paramètres du matériel.
Les paramètres du prompt "boot" s'appliquent typiquement aux drivers matériels qui sont compilés dans le noyau. C'est pourquoi muLinux n'en a pas beaucoup besoin.
Si, au prompt "boot" vous tapez [SHIFT] ou[TAB], Lilo vous demande de spécifier une image disque à charger et passe les options de la ligne de commande au noyau. Par exemple :
boot: mulinux root=/dev/hdb2 vga=extended
Voici une liste des commandes acceptées par le noyau muLinux::
Si vous désirez lancer linux à partir d'un floppy plutôt qu'à partir du RAM disk standard (systèmes pauvres en mémoire), vous pouvez taper:
boot: mulinux load_ramdisk=0
Le noyau vous demande alors "Insert ROOT floppy ..."
Si vous voulez monter une partition EXT2 existantes, tapez:
boot: mulinux root=/dev/hd...
Cette liste est en train d'évoluer car nous y travaillons toujours : chaque fois que j'arrive à liberer de la place sur le floppy, la liste augmente.
RNA
, lecteur de mail et de news;Pion
, gestionnaire de fichier avec FTP et un support VFS
rustique;whois
, lecteur de données dans la base de données
Network Information Center (NIC) ;info
, informations système;help
, petit système d'aide "hypertexte"";mon
, gestionnaire de ressources (basé sur /proc );muhex
, un éditeur hexadécimal (v>5.3)/bin/ash
: Je sais que c'est affreux, mais il est beaucoup
plus petit que bash et il fait la même chose tant que l'on s'occupe que de
scripts. L'historique des commandes est approximativement gérée par ile
.elvis tiny
(clone standard UNIX vi ) et ae Antony
Editor
(but this on X11 floppy).nfs.o
module), WfW/NT fs
partage e Samba/SMB (smbfs.o
module), cdrom (isofs.o
module). Commandes comme mount
, smbmount
, umount
,
fdisk
, fdformat
, df
, free
,
mkfs.ext2
, [e2fsck]
.ls
, cp
, mv
, gzip
, gunzip
,
bzip2
, bunzip2
, more
, less
,
stty
, zless
, zcat
, cmp
, find
(émulée), grep,fgrep
(émulée), sed
, tr
(réécrite), date
, basename
(émulée), dirname
(émulée), pidof
(émulée), ee
editor, dd
,
od
(émulée), file
(émulée), pr
(émulée),
du
(émulée), expr
(réécrite), setserial
,
tar
, insmod
, rmmod
, lsmod
,
m4
macro processor, bc
calculator (émulée avec
awk) etc.
La version 4.2 a vu apparaître le langage awk
et un jeu de
nouvelles commandes classiques à UNIX basées sur ce langage comme: sort
,
uniq
, tail
, etc.
I dreamt of not including gzip
and
using the z
option of tar. But tar only gunzips...
Vous ne trouverez ni zip
ni unzip
: ces fichiers
sont trop gros. Peut être plus tard...
lp.o
module, par demandes plus un simple lpr
avec des codes d'Escape mais pas de spooler. muLinux supporte uniquement les
imprimantes ASCII, POSTSCRIPT (i.e. Apple Laserwriter) et HP-PCL (i.e.
Laserjet), mais imprime uniquement les formats suivants:ascii, pgm, tiff
(g3,fax).
A partir de la version 4.0,, muLinux supporte aussi les imprimantes distantes style BSD( contribution de Tom Poindexter (tpoindex@nyx.net).
A partir de la version 6r3 muLinux support un serveur LPD, contribution de by Steve Flynn (smflynn@ozemail.com.au)un petit programme C qui comprend le traditionnel protocole ldp BSD pour imprimantes. Lancez ce démon et votre hôte se comportera comme un simple Serveur d'impression ou Partageur d'imprimante pour les machines UNIX, pour Windows NT ( en utilisant le driver "Microsoft TCP/IP Printing" ou pour Windows 95/98 utilisant un programme "free" nommé ACITS LPR)
ifconfig
, route
, ipfwadm
forles processus de masquage et de routage, ping
, finger
,
traceroute
, trafshow(tcpdump)
.ftpget
(u petit clent FTP, agréable pour les scripts), telnet
(émulée),
rlogin
, finger
(émulée) etnetcat
,un
scanner TCP/UDP générique.sniffit
un sniffer de paquets et un outil de surveillancenmap
( rustique) mapper de réseaussh
Secure Shell (sur la disquette "addon" EXT)3c509
, ne
(NE1000, NE2000,
et beaucoup de clones), ne2k-pci
(PCI ne2000 clones), wd
(WD8003, WD8013), smc-ultra
, 3c59x
( la série de
cartes 3Com "Vortex" and "Boomerang", Fast EtherLink
cartes 3c590/3c592/3c595/3c597, XL 3c900 et 3c905 s), ..., mais les modules
sont sur le floppy. Vous avez juste à "gzipper" votre propre
module et le mettre sur le floppy. Voir la section Comment
personnaliser muLinux ? pour plus de détails. dhcpcd
configured client. DHPC permet aux hôtes d'un réseau TCP/IP de demander
une adresse IP qui leur est attribuée et aussi d'acceder à des
informations sur le réseau auquels ils sont connectésppp.o
, serial.o
and slhc.o
;commandes chat
and pppd
. La configuration est
automatique en tappant ou le ppp muLinux permet aussi la connxion entre deux
PC ( ou un réseau local sur internet) à l'aide d'un cable null-modemfetchmail
seulement quelques kilo octets, qui marche
parfaitement , avec l'option -F
(flush) , mais aussi un vrai fetchpop
.
sendmail
compatible avec le vrai qui supporte "smarthost"
et le travail "offline" . Je l'ai testé avec succès depuis
mon "gros" Linux. Vous pouvez utiliser le champ From:
si vous préférez (-f
option). Traitement des mails avec RNA
Messenger
, un lien symbolique avec `mail` (supportant le offline).
suck
(récupéré d'un petit
gestionnaire sur usenet, émulé par script).miterm
, identique à minicom
, pour
des sessions modem distantes.agetty
(dialin session) et efax
(émission
et réception de fax)fax
svous permet de créer, d'envoyer de recevoir
et d'imprimer des fax à l'aide du package efax
(C) Ed. Casas.
Testé sur un modem USR Sportster 3.66,mais j'espère qu'il marche
avec tous les modems....sound.o
(SoundBlaster) et module PC-Speaker
(patché par Michale Beck). Sur mon PC, la SoundBlaster marche. Dans
certains cas, il sera nécessaire de fournir au noyau des informations
supplémentairesmpg123
pour jouer les fichiersMPEG files (layers 1-2-3)
(sur le "addon" X11vplay
pour jouer les fichiers .wav
vrec
pour enregistrer avec votre microphone.playcd
pour jouer des cd.wave
un générateur de formes d'onde..au
directement sur /dev/audio
lynx
, version 2.6 un client complet World Wide Web (WWW)
client pour les utilisateurs travaillant avec des terminaux dont la
position des caractères est adressable (par exemple les terminaux
VT-100, les émulateurs de VT-100 tournant avec lnet, tn3270 ou comptes
distants émulés divers émulateurs de VT-1000 sur Mac ou PCs ou
n'importe quel terminal adressable caractère par caractère. Il affiche
des documents HTML (Hypertext mMarkup Language) qui contiennent des
liens vers le système de gestion de fichier local aussi bien que de
vers des systèmes de fichier distants tournant sous http, gopher, ftp,
wais, nntp, finger, or les serveurs cso/ph/qi , etsed
, muless
, m4
and netcat
. Il est unique et sa principale caracté"ristique
est sa taille : seulement 3713 octets.rpost
(émulé), and inews
(émulé) utilisé
par le Lynx pour l'accès aux newsgroup.Chimera
, un navigateur Web graphiqueraphical (sur la
disquette "addon" X11 )Le serveur Pygmy
WWW, un simple serveur httpd (2202
octets), supportant les connexions multiples, le téléchargement le le
parcours de répertoire. A essayer avec lynx://localhost/atd
) dpour les exécutions
différées (commandes identiques à at,atq,atrm
).fortune
( Linux fortunes classique, en latin), paganini,
piano
(jeux de son) reverse, blue
(solitaires). carbo
(jeux cryptographique) TicTacToe
, forza4
(solitaire).Sans commentaire.
La commande mu -i
permet la création de différents models de
disquettes de typae 1440K ou 1770K. Par exemple, les deux modèles de disquettes
BOOT+ROOT(1722K) et USR(1722K) permettent l'accroissement du nombre de
programmes mis dans ROOT (/bin
) et dans USR (/usr/bin
).
Le modèles BOOT+ROOT(1440K) et USR(1722K) démarre plus rapidement. mu
-i
a un inconvénient : Les installer DOS ne peuvent choisir le modèle
mais ils peuvent simplement accepter celui par défaut BOOT+ROOT+USR sur une
simple disquette 1722K.
C'est parce que LILO n'est pas disponible en tant que programme DOS.
Techniquement, construire un floppy est juste une commande équivalente à cat
BOOT ROOT > /dev/fd0
, lais LILO doit modifier le MBR.. Je ne sais pas
comment le faire simplement sous DOS ( sans LILO). Après réflexion, je ne
pense pas que la distribution 1 Floppy1440 soit une bonne idée
Voir aussi le fichier doc/custom.txt dans l'archive de la distribution
Un noyau doit fonctionner pour faire o 'mu -r':
- loopback device support
Les bonnes versions de 'fdformat', 'lilo' and 'bzip2' sont incluses
La partition racine est sur le floppy, coupée en deux parties ( voir le
paragraphe Que se passe t-il au moment du boot?. La
première partie contient uniquement la structure des répertoires (/bin
,
/lib
, etc.)
LA première chose à faire si vous voulez construire un muLinux personnalisé
est de décompresser les images BOOT, ROOT, USR and X11 avec la commande mu
-u
. Ceci décompacter la partion BOOT dans le sous répertoire tree/startup
et ROOT+USR+X11 dans le sous répertoire tree/
.
Maintenant ajouter, permuter, détruisez toutes les commandes comme vous le désirez.
Si vous voulez changer le noyau, compilez le avec zImage et copiez le
sous tree/startup/boot/mulinuz Les modules éncéssaires doivent être 'gzippés'
et copiés dans tree/startup/modules/archive.tbz.
(Voir tree/startup/modules/README,pour
plus de détails).
Il est souvent nécessaire de spécifier des paramètres tels que (io
,
irq,
et ainsi de suite) quand vous chargez un module. Si votre
module X.o
a besoin de paramètres spécifiques, écrivez les
simplement dans tree/startup/modules/X.param
en
insmod X.o `cat X.param`
Notez bien que vous avez à compiler ext2
, DOS
, le
support de gestionnaire de fichier UMSDOS et le support RAMDisk direectement
dans le noyau parceque ils sont nécessaires au moment du démarage pour les modèles
muLinux UMSDOS.
Si vous jetez un coup d'oeuil dans le script mu
, vous y
trouverez une variable appellée BOOT_FREE
. Avec celle ci, vous
pouvez règler la place libre sur la partition BOOT, là où les configurations
sont stockées de manière permanente et où vous voudrez sauver des choses de
manière permanente, des adresses d'e_mail par exemple.
Les Tables de touches de clavier personnalisées sont situées sous r tree/startup/init
,
dans keymap.tgz
. Voir tree/startup/init/README pour les
instructions de personnalisation.
Vous pouvez sauver un mailrc
et/ou un bookmarks.html
dans tree/startup/init
.
/usr/bin
Vous trouverez le contenu de ce répertoire sous tree/usr/bin
.
Vous pouvez changer le contenu de ce répertoire sans restriction. Si vous dépassez
la taille disponible, c'est là que vous pouvez regarder en priorité si vous ne
pouvez pas purger des commandes non utilisées. Rappelez vous que Lynx est le
plus gros exécutable du floppy.
Quand vous avez fini de personnaliser le système, tapez simplement
mu -r mu -x # this if for X11 subsection
pour reconstruire la disquette image. Portez toute votre attention aux éventuels messages d'erreur... Si tout se passe bien, vous pouvez rebooter votre propre nouveau muLinux.
Cet "addon" est composé d'un serveur VGA-16, des gestionnaires de fenêtres
vwm95-2, Afterstep and wm2 et des applications XFM et File Manager. muLinux
monte le contenu de ce floppy ( approximativement 4.2 M une fois décompressé)
sous /usr/X11R6
. Vous trouverez les nouveaux binaires et les
nouvelles librairies sous /usr/X11R6/bin
et /usr/X11R6/lib
.
Les fichiers de configuration sont situés sous, le choix initial des développeurs de X11R6. Peut être voudrez vous jeter un œil sur les fichiers suivants :
/usr/X11R6/lib/X11/XF86Config
: configuration du servuer X;/usr/X11R6/lib/X11/fvwm95-2/*
: fvwm c;/usr/X11R6/lib/X11/afterstep/*
: fichier de configuration de
afterstep;/usr/X11R6/lib/X11/xfm/*
: fichier de configuration de xfm.XKB est déconnecté : les claviers nationaux sont directement exportés dans X. Finalement, un grand paquet de fontes sont supprimées.
En tout cas, vous trouverez les programmes X xcalc, xclock, xload, xhost,
xmodmap, xsetroot, xinit, xcal, xmixer, pyro, xsnow et xterm (rxvt). xterm
peut être utilisé pour lancer n'importe quel commande en mode texte (lynx,
minicom, workbone, etc...); xhost
est intererssant parcequ'il
permet au serveur local d'afficher des applications qui tournent sur des
stations de travail distantes.
Si vous avez 16 ou 32 M de mémoire, X tournera à une vitesse terrifiante!!!
Ce floppy 17722K, apparu avec la version 6.0 est destiné à servir de lieu de stockage de modules du noyau, de programmes optionnels, etc. Actuellement : le serveur de souris gpm, le support SCSI, ssh (Secure Shell), lilo et syslinux (gestionnaire de démarage), mkisofs et cdrecord (pour la compilation de CD), sox et cdda2wav, la suite Samba v1.9.18a, etc. EXT est monté sur /usr/local/. ssh
XVnc X-Serveur (pour Virtual Network Computing) et ses clients dédiés SVGA-lib; visualisateur de vignettes d'images zgv
Un floppy complémentaire pour muLinux permet d'ajouter un jeu de programmes applicatifs écrits en Tcl/Tk. Nécessite l'"addon" X11, beaucoup de ces programmes tournant sous X. L'auteur :Tom Poindexter, tpoindex@nyx.net.
LaTex: TeX de formatage de texte pour les syste pour les systèmes UNIX Like , avec AMSTex (de l'American Mathematical Society) package, dvips, xdvi, etc.
Cet "addon" peut être utilisé comme un kit de dépanange professionnel des rédacteurs. Si vous travaillez comme reporter de guerre dans une zône de combat, et que vous deviez réécrire rn urgence le Book 8th, Conic's Section " d'Apollonio di Perga (je ne l'ai jamais trouvé... je suis preneur...)
sur ce floppy 1722 K, vous pourrez trouver des utilitaires pour les développeurs en C:
as
-- l'assembleur portabel GNU.gcc
-- le compilateur C du projet GNU (v2.7.0)cpp
-- Le pre processeur C compatible du GNUmake
-- l'utilitaire du GNU pour la maintenance des
programmesar
-- create, modify, and extract from archives.ld
-- l'éditeur de lien GNUldd
-- analyse de dépendancesldconfig
-- gestion des liens dynamiquesstrip
-- supression des symbls dans les fichiers objet.flex
-- générateur d'analyseur lexical rapide ( "lex")bison
-- générateur de parseur du projet GNU P (en
remplacement de yacc )f2c
-- traducteur FORTRAN vers C.p2c
-- traducteur turbo-PASCAL to C .qb2c
-- traducteurQuick-BASIC to C translator (package source
)g48
-- traducteur C to RPN (Polonaise inversée ) pour HP48Gddsbasic
-- un petit interpréteur BASIC (6372 bytes!) (
package source)De plus, les vraies pages UNIX man et les sources des tests dans /gcc/usr/src
L'original de ce document a été écrite en SGML, et ensuite traduit en utilisant le package sgml-tool.
Note du traducteur : la version française de ce document a été écrite en HTML, en utilisant un éditeur HTML classique.
Vous pouvez trouverez la version la plus récente de ce document, en anglais, à http://sunsite.auc.dk/mulinux/.
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