Réf. :Linux french site: a first contribution

From: Rémi Clavier (remi.clavier@wanadoo.fr)
Date: Sun Jun 04 2000 - 14:33:51 CEST


Hi...
You can find enclosed a french version of readme.htm.
it's a first try and perrhaps bugs are in this document.

Michele may put this document on the muLinux Site if he want.

It's people to translate other muLinux documents?

Regard's

Rémi


muLinux

muLinux: Linux sur un floppy, 

v 9r1b Peter Pan

© 1998-2000, Michele Andreoli, m.andreoli@tin.it

 


Ceci est la documentation, mainte fois mise à jour, de mulinux, la distribution microscopique développée par Michele Andreoli. la traduction Française a été effectué par Rémi Clavier remi.clavier@wanadoo.fr. à partir de la traduction anglaise de Enrico Cavalli enrico.cavalli@mi.nettuno.it


1. Qu'est-ce que Mulinux?

 

muLinux (µ-Linux) est une distribution entièrement configurée, minimaliste, presque complète et orientée application de Linux réalisée en Italie. Elle tient sur un simple 1722K floppy 

L'un des desseins de ce projet est de démontrer la puissance et l'volutivité de ce système d'exploitation
Le Noyau 2.0.36 est compilé pour les 386 (sans co processur) et aussi modulérisé que possible.

Les binaires sont pris de douzaines de distributions et de floppy de boot de mes trois gros diques durs. 

Vous êtes vous interrogé sur le fait de savoir comment, lorsqu'il existait deux programmes de même nom, je faisais mon choix?J'ai simplement pris le plus petit des deux et celui qui ne nécessitait que  ibc.so.5.  Je ne veux pas vous ennuyer en vous parlant de tous ce que las hackers ont fait pour récupérer de la place. Il vous suffira sans doute de savoir que j'ai réécrit en C la commande expr, parce que je ne pouvais pas comprendre pourquoi il fallait 50328 octets quand j'arrive à faire le même travail avec seulement 4586 octets... De la même manière, j'ai remplacé la commande grep   par sed et d'utres choses du même genre.

2. Who is muLinux for?

mulinux n'est pas destiné aux afficionados de la souris, qui n'apprécieront pas une interface spartiate mais pour les vrais "fans" de linux en général et pour les curieux qui n'hésiteront pas jeter un coup d'œil dans les scripts pour comprendre comment un "hack" comme mulinux sendmail( seulement 1216 octets) est réellement capable d'envoyer des mails avec une adresse de retour correcte.

En tout état de cause, un "linux portable" semble idéal dans un grand nombre de situations : maintenance à différents niveaux, démonstration, systèmes intégrés ou plus simplement pour le plaisir de le booter de temps en temps, sans autre raison que le plaisir.

3. Le buts principaux de muLinux

4. Matériel nécessaire

Des tas de PC différents marchent très bien. Le minimum minimorum est un 386 avec 8 Mb de mémoire. Installer mulinux avec seulement 4 Mb est un peu jouer à la oulette russe... Un coprocesseur, mathématique n'est pas nécessaire d'autant plus que mulinux a une émulation interne.

Un disque dur n'est pas nécessaire. Bien sûr, vous pouvez monter les partitions existantes sur votre disque dur si vous la voulez. Les disques SCSI ne sont pas directement supportés à cause du nombre immense de carte contrôleur qui existent. Si vous désirez utiliser le SCSI, lisez avec profit Comment puis-je personnaliser muLinux?

5. La commande setup

Pour permettre de personnaliser la partition root, mulinux a un script( setup, see setup -h )  qui permet de lire (setup -r) et écrire  (setup -s) les profiles muLinux de et vers le floppy, le type de clavier, les données ethernet, où la souris et le modem sont situés, quel module le noyau doit charger à chaque lancement, le numéro de téléphone de votre ISP et ainsi de suite...
Dieu merci, vous avez à vous occuper de ce profil que la première fois que vous bootez votre floppy.

L'utilisateur, cependant, a la possibilité de taper une commande telle que  setup -f ppp ou setup -f net à chaque fois qu'il le désire.  (-f signifie "forcer"). Ou même, si vous le désirez, il peut taper setup -f -a (dans laquelle a signifie "all").

 Pour permettre l'utilisation de floppy dans différents cas, la commande gère une espèce de multi-configuration que vous pouvez changer aussi souvent que vous le désirez. Vous pouvez sauver différents profiles avec des noms différents. Par exemple, avec setup -r "home vous pouvez charger un profil qui le supporte que ppp, avec setup -r "pc12" vous pouvez charger un profil avec une carte ethenet et la gestion de l'IP pour le pc N° 12. 

Tout ce qui définit cela est dans le répertoire  /init du segment de BOOT, alors que le profile courrant en situé dans /setup.

Quand vous bootez muLinux, il vous interroge sur le profil à charger. Des profils spé"ciaux existent aussi. Ils sont nommés "NONE" et "lock". Avec "NONE", le setup saute toutes les opérations et si votre dernière configuration est nommée "lock", le setup la charge sans vous demander de confirmation.

Avec la commande setup vous pouvez aussi charger en mémoire un module compressé  ainsi qu'effectuer d'autres actions.

 

6. muLinux et la brebis Dolly

Depuis la version 2.0, muLinux est capable de s'installer lui même non seulement en RAM, mais aussi de manière permanente dans un répertoire DOS ( installation UMSDOS ) ou dans une partition libre de votre disque dur (installations EXT2). Vous n'avez besoin que de 8 à 10 Mo de mémoire quelque part sur votre disque.

Pour réaliser ce type d'installation, le noyau muLinux est fourni avec le support de  UMSDOS et de DOS et nous avons ajouté loadlin.exe sur le  floppy. Dans les deux cas, loadlin est utilisé pour booter muLinux et il est nécessaire de le lancer depuis le prompt DOS avec la commande linux.bat. Ce choix est justifié par le fait que muLinux a été conçu et réalisé pour être utilisé de manière temporaire sur des PC sur lesquels ils ne sont pas seuls. Nous voulons pouvoir disposer d'installations non-intrusives et que l'on peut retirer facilement.

L'installation UMSDOS met en place ce concept: vous pouvez partager un espace disque entre Linux et DOS; vous n'avez pas besoin de re partitionner vos disques dus et vous pouvez retirer mulinux sans effort spécifique?

L'installation EXT2, au contraire, est juste une curiosité et est la seule intrinsèquement dangereuse : muLinux va formater deux partitions choisies (comme toute installation de Linux à partir de disquettes) et il est possible, pour un utilisateur novice et inexpérimenté, de choisir la mauvaise partition. D'un autre coté, si vous avez une partition séparée suffisamment grande, pourquoi ne pas installer un "vrai" Linux?

Les versions postérieures à la 5.1 disposent aussi d'un autre type d'installation UMSDOS :le loop filesystem. Elle utilise la fameuse  "loop Linux device",  un système de fichier complet intégré dans un fichier DOS normal et situé sur  c:\linux.

A ce point de votre lecture, vous devez vous interroger sur le titre donné à ce paragraphe. Ce que nous avons décrit jusqu'à maintenant n'est pas réellement une installation mais seulement un "processus de clonage". Le système de fichier  muLinux complet (y compris les interfaces montés) est simplement copié ( avec la commande cp -a, c'est vrai) aux endroits choisis.

Juste quelque mots d'avertissement: Ne jamais laisser votre lecteur de CD ou un volume NFS monté lorsque vous clonez muLinux si vous ne voulez pas que l'univers entier soit recopié sur votre partition DOS!!!

Les systèmes muLinux clonés fonctionne exactement comme les systèmes normaux en RAM. Les opérations de setup et d'auto configuration sont compatibles entre ces trois modes d'installation. L'utilisateur ne verra aucune différence.

ceci fait une différence fondamentale avec d'autres distributions de Linux sur floppy qui sont très dépendant du floppy pour fonctionner.

7.Clônage "Lecture -seule" et périphériques mobiles

Depuis la version 7r4, une nouvelle sorte de clonage, (via/bin/roclone) est fournie. Elle est principalement utile pour intégrer une copie gelées du système de fichier actif sur un support (qui peut être read only et bootable) formaté compatible DOS..   Très utile pour les clones sur Iomega ZIP, CD-R (mécanisme El-Torrito ) et autres dispositifs ( le SCSI est possible).

D'un point de vue technique, tout se passe normalement, mais après que muLinux essaye de monter son propre USR du floppy, la vérification est faite sur le CDROM IDE, le CDROM SCSI, le ZIP IOMEGA et autres. Si elle réussit, muLinux monte l'image USR ( un fichier normal dans la directory boot/) utilisant le mécanisme Linux "loopback" et utilise une combinaison de système de fichier mixte : RAMDISK et support "read only" ensemble.

L'"addon" EXT doit être présent pour cette fonctionnalité. J'ai personnellement testé IOMEGA ZIP et HP CD-Writer M820.

8. muLinux et les systèmes avec peu de mémoire

 Le processus de clonage (voir  muLinux et la brebis Dolly), qui peut être fait par l'utilisateur à n'importe quel moment à l'aide de la commande clone est automatiquement lancé si les système reconnaît qu'il n'a pas suffisamment de mémoire(<4M).

Dans ce cas muLinux reste en "runlevel 3" ( seules les commandes /bin sont disponibles), crée immédiatement un fichier de swap dans la partition DOS et démarre le clonage lui même sans délai.

Quand vous voyez le message Automatic reboot in progress, retirez le floppy et redémarrez le DOS. Au prompt DOS, tapez cd c:\linux et linux.bat. Le clone mulinux sera alors lancé et se mettra en route.

Le premier démarrage de ce nouveau système est complet comme un être humain le jour de sa naissance : si muLinux s'aperçoit que quelques composants sont manquant (typiquement /usr et X11), il démarre la copie du floppy vers le disque dur. Si vous clonez manuellement un système muLinux à partir d'un système monté en RAM et déjà configuré, le système cloné sera déjà "prêt à l'emploi".

Attention, sur un 386 avec 4Mo de mémoire, le processus de clonage et de réanimation peut prendre plus de 15 minutes la première fois, mais vous aure la joie de voir Xwindows démarrer sur votre 386!!

9. muLinux comme un client NFS sans disquette

Depuis la version 3.0,  de nom de code "Hammameth", muLinux est capable d'installer son système de fichier root via NFS (Network File System), sous condition que vous disposiez un serveur de réseau supportant ce traditionnel protocole TCP/IP en état de marche.

le service nfsroot est configuré avec la procédure setup usuelle (voir The setup command): muLinux vous interroge pour configurer les paramètres ethernet et pour spécifier la racine nfs, c'est à dire le répertoire distant contenant le système Linux (qui peut bien sûr être une copie de muLinux). 

Le noyau muLinux a été modifié pour monter la "vraie racine" seulement après la configuration des drivers réseau : le noyau muLinux est modulaire, ainsi il n'est pas possible de configurer ces paramètres à l'aide des paramètres usuels du boot (nfsroot= and nfsaddrs=). le patch est si petit (une ligne seulement) qu'il peut faire l'objet d'un mail ou même être écrit sur le dos d'un timbre poste.

par exemple, supposons que votre client IP muLinux ait une adresse 192.168.1.x ( en notation pointée) et que la racine nfs soit /remote/root Le fichier /etc/export  sur le serveur doit être quelque chose comme

        #/etc/exports
        /remote/root    192.168.1.0/255.255.255.0(rw,no_root_squash)

Une fois que vous  avez sauvé le profile sur la disquette ( avec votre nom favori par exemple "nfs"), vous n'avez qu'à spécifier le profil "nfs" lors du redémarrage suivant de muLinux : muLinux reconfigurera automatiquement le réseau et montera la racine nfs nfs_root.

Si le système distant est lui même un système muLinux, il se peut que le muLinux distant vous demande de rebooter une fois de plus au premier redémarrage. Excusons le: comment peut-il savoir que vous avez déjà répondu à la question?

Pour préparer le système distant, il suffit de copier l'arbre muLinux sur la directory /remote/root/ du serveur. Une autre solution est d'exporter la racine complète du serveur root (Attention, cette méthode n'est pas fiable du point de vue de la sécurité)

Si vous avez une partition EXT2 séparée sur le serveur (par exemple /dev/hdb1) vous pouvez aussi la préparer avec une distribution de Linux en état de marche et l'exporter vers les stations de travail. Dans ce cas, il suffit de monter cette partition au moment du boot (placer la ligne 

mount -t ext2 /dev/hdb1 /remote/root

dans l'un des des scripts du serveur  dans le but de le rendre accessible aux clients. 

Le fichier  /etc/fstab doit contenir quelque chose comme

      /dev/nfs        /       ext2    defaults 1 1

Si le client a besoin d'espace de swap, il doit utiliser un disque local. Le noyau  muLinux n'est pas capable (à l'heure actuelle) de "swapper" via NFS.

Pour les machines avec peu de mémoire (< 4M de RAM), le processus de démarrage est légèrement changé. : muLinux vous demande immédiatement si vous voulez cloner le système sur le disque (comme dans les versions précédentes), ou il vous demande de monter via NFS. Avec peu d'éffort, il est ainsi possible de transformer votre 386 en une station de travail sans disquette basée sur Xwindows Linux. Cette solution est très bon marché et efficace pour beaucoup d'écoles avec des laboratoires d'informatique obsolètes (tels ceux que l'on peut trouver dans beaucoup d'institus techniques en Italie)   

10. IP filtering with muLinux

 

______________________________
 __|__                  ___|___           PPP-link vers le fournisseur
|     | réseau local   |       |   ______          internet
| PC  |  192.168.1.0   |Routeur|--|modem |------------------>
|     |                | Linux |  |______|      x.x.x.x
|_____|                |_______|          (adresse IP dynamique)
                         pppd

 

Un pare feu de filtrage IP est conçu pour contrôler le flux de  paquet en se repérant sur la source, la destination et le type de paquet. Dans muLinux (version postérieures 2.7 setup ipfadm), vous disposez d'un système de masquage IP  et d'une protection générique sur un serveur Linux, permettant aux calculateurs connectés sur le réseau IP interne (et donc ne disposant pas d'une adresse IP enregistrée) de se connecter à Internet au travers d'une "boite" muLinux.

11. What happens at boot time?

 

La disquette est faite de 1722 blocs de 1024K chacun. Elle est logiquement divisée en trois parties:

BOOT
Un système de fichier ext2 non compressé (c'est à dire bootable). Il sera monté sous /startup
ROOT
Une image ext2 d'un système de fichier gzippé, naturellement monté sous  /;
USR
Une image ext2 d'un système de fichier gzippé Il sera monté sous /usr.;

La disquette complémentaire X11 "addon" (17722M) est à l'opposée, fournie en format (tbz ( tarée et bzippée).

Le noyau est chargé, comme d'habitude, via LILO. Quand le noyau est chargé, il exécute /sbin/init.

 

BOOT est monté du floppy sous  /startup, alors que  USR est monté sous  /usr en tant que ramdisk.

 L'accès à /startup nous rend capable de sauver de manière permanent sur le floppy votre profil linux.we are able to permanently save to floppy our muLinux profile:Voir la section La commande Setup.

Le script de démarage prend également à sa charge de créer une quatrième partition en RAM sous  /tmp.

 

12. Les paramètres du prompt "boot"

  Le noyau Linux a des possibilités limitées d'accepter des informations au démarrage sous la forme var=valeur. En général, cette possibilité est utilisée pour alimenter le noyau avec des informations concernant les paramètres du matériel.

Les paramètres du prompt "boot" s'appliquent typiquement aux drivers matériels qui sont compilés dans le noyau. C'est pourquoi muLinux n'en a pas beaucoup besoin.

Si, au prompt "boot" vous tapez [SHIFT] ou[TAB], Lilo vous demande de spécifier une image disque à charger et passe les options de la ligne de commande au noyau. Par exemple :

                boot: mulinux root=/dev/hdb2 vga=extended 

Voici une liste des commandes acceptées par le noyau muLinux::

 

vga=mode
spécifie le mode texte VGA à utiliser : normal (80x25), extended (80x50), or "ask" (demander plus tard).
root=device
monte le device comme partition root.
init=program
spécifie le nom du programme init à exécuter: par exemple . /bin/sh, or /bin/rc.1,etc. C'est utile pour le dépannage.
mem=size
Spécifie la taille mémoire existante, si le repport qui en est fait par le bios est mauvais.
load_ramdisk=0
interdit à muLinux de charger boot.

Si vous désirez lancer linux à partir d'un floppy plutôt qu'à partir du RAM disk standard (systèmes pauvres en mémoire), vous pouvez taper:

                boot: mulinux load_ramdisk=0

Le noyau vous demande alors "Insert ROOT floppy ..."

Si vous voulez monter une partition EXT2 existantes, tapez:

                boot: mulinux root=/dev/hd...
 

13. Ce que vous trouverez sur la disquette

Cette liste est en train d'évoluer car nous y travaillons toujours : chaque fois que j'arrive à liberer de la place sur le floppy, la liste augmente.

 
Mini Applications
Release >4.2 est apparue avec un jeu de mini applications basées sur "mu-less", un mini interface programmable semblable à ncurses : 
Shell.
/bin/ash: Je sais que c'est affreux, mais il est beaucoup plus petit que bash et il fait la même chose tant que l'on s'occupe que de scripts. L'historique des commandes est approximativement gérée par ile.
 
Pages de manuel
Pas vraiment. La commande interactive help (dans le style VAX) est disponible. Un vrai man est disponible sur la disquette "addon" GCC 
Editeurs.
elvis tiny (clone standard UNIX vi ) et ae Antony Editor (but this on X11 floppy).
 
Suppor de clavier.
Beaucoup de claviers nationaux gérés. Pages de code: 437,850.
 
Support de souris.
Souris série. Souris Bus : PS/2 (aux port style): /dev/psaux; Logitech BUS Mouse: /dev/logibm; Microsoft BUS Mouse: /dev/inportbm. serveur de souris gpm (v>6.0, EXT).
 
Accès au système de fichier.
Dos, UMSDOS, Windows, vfat, NFS (nfs.o module), WfW/NT fs partage e Samba/SMB (smbfs.o module), cdrom (isofs.o module). Commandes comme mount, smbmount, umount, fdisk, fdformat, df, free, mkfs.ext2, [e2fsck].
 
Commandes génériques
ls, cp, mv, gzip, gunzip, bzip2, bunzip2, more, less, stty, zless, zcat, cmp, find (émulée), grep,fgrep (émulée), sed, tr (réécrite), date, basename (émulée), dirname (émulée), pidof (émulée), ee editor, dd, od (émulée), file (émulée), pr (émulée), du (émulée), expr (réécrite), setserial, tar, insmod, rmmod, lsmod, m4 macro processor, bc calculator (émulée avec awk) etc.

La version 4.2 a vu apparaître le langage awk et un jeu de nouvelles commandes classiques à UNIX basées sur ce langage comme: sort, uniq, tail, etc.

I dreamt of not including gzip and using the z option of tar. But tar only gunzips...

Vous ne trouverez ni zip ni unzip: ces fichiers sont trop gros. Peut être plus tard...

Support d'imprimante
lp.o module, par demandes plus un simple lpr avec des codes d'Escape mais pas de spooler. muLinux supporte uniquement les imprimantes ASCII, POSTSCRIPT (i.e. Apple Laserwriter) et HP-PCL (i.e. Laserjet), mais imprime uniquement les formats suivants:ascii, pgm, tiff (g3,fax).

A partir de la version 4.0,, muLinux supporte aussi les imprimantes distantes style BSD( contribution de Tom Poindexter (tpoindex@nyx.net).

A partir de la version 6r3 muLinux support un serveur LPD, contribution de by Steve Flynn (smflynn@ozemail.com.au)un petit programme C qui comprend le traditionnel protocole ldp BSD pour imprimantes. Lancez ce démon et votre hôte se comportera comme un simple Serveur d'impression ou Partageur d'imprimante pour les machines UNIX, pour Windows NT ( en utilisant le driver "Microsoft TCP/IP Printing" ou pour Windows 95/98 utilisant un programme "free" nommé ACITS LPR)

Arret de la rotation des disques dur sur timeout
Un Timeout est utilisé par les disques pour déterminer depuis combien de temps ils attendent (sans activité) avant de couper les moteurs pour économiser de la puissance et l'usure des disques
 
Outils TCP/IP
 
Ethernet.
CCartes supportées: 3c509, ne (NE1000, NE2000, et beaucoup de clones), ne2k-pci (PCI ne2000 clones), wd (WD8003, WD8013), smc-ultra, 3c59x ( la série de cartes 3Com "Vortex" and "Boomerang", Fast EtherLink cartes 3c590/3c592/3c595/3c597, XL 3c900 et 3c905 s), ..., mais les modules sont sur le floppy. Vous avez juste à "gzipper" votre propre module et le mettre sur le floppy. Voir la section Comment personnaliser muLinux ? pour plus de détails.  
DHCP
Protocol de configuration dynamique de Host Dynamic Host Configuration Protocol; muLinux (>4.2) supporte un client DHPC configuré dhcpcd configured client. DHPC permet aux hôtes d'un réseau TCP/IP de demander une adresse IP qui leur est attribuée et aussi d'acceder à des informations sur le réseau auquels ils sont connectés
PPP.
modules ppp.o, serial.o and slhc.o ;commandes chat and pppd . La configuration est automatique en tappant ou le ppp muLinux permet aussi la connxion entre deux PC ( ou un réseau local sur internet) à l'aide d'un cable null-modem
diald
Le démon hyper rustique muLinux diald est basé sur un "hack" des comptes Une fois lancé diald muLinux detecte les demandes sortantes DNS sur des NAMESERVER distants (port 53) et lance PPP (ou ce que vous voulez à la place, bien sûr!)
cron
le traditionnel lanceur de commande UNIX programmées.  
Reception de mails.
Un fetchmail seulement quelques kilo octets, qui marche parfaitement , avec l'option -F (flush) , mais aussi un vrai fetchpop.  
Emission et lecture de mails.
Un sendmail compatible avec le vrai qui supporte  "smarthost" et le travail "offline" .  Je l'ai testé avec succès depuis mon "gros" Linux. Vous pouvez utiliser le champ From: si vous préférez (-f option). Traitement des mails avec RNA Messenger, un lien symbolique avec `mail` (supportant le offline).  
News.
RNA, mode lecteur de news + suck (récupéré d'un petit gestionnaire sur usenet, émulé par script).
Démons traditionnels Iternet
Depuis la version 7.0, muLinux supporte inetd, wu-ftpd, in.rlogind. Le multi utilisateur est maintenant possible, avec identification et mot de passe.
support PCMCIA
Depuis la version 7.0 muLinux supporte les cartes PCMCIA (EXT addon). Je l'ai testé sur mon IBM Thinkpad avec une carte 3c589, sur un ACER Extensa 5027, avec une carte compatible ne2000 .
connection Modem .
 
gestion des Faxs.
Un script fax svous permet de créer, d'envoyer de recevoir et d'imprimer des fax à l'aide du package efax (C) Ed. Casas. Testé sur un modem  USR Sportster 3.66,mais j'espère qu'il marche avec tous les modems....
Son et musique.
 
Le Web.
 
La partie serveur
Deuis la version 2.3, muLinux est fourni avec plusieurs "serveurs et démons" rustiques. Un serveur muLinux est, généralement, un script shell, souvent basé sur netcad qui tournevia init(8) sur le "runlevel 5" sans inetd. les serveurs sont arrètés avec "init s" et redémarés avec "init 5"; init q"met à jour le status de init(8). Cette liste va grossir, du moins je l'espère
Jeux
fortune ( Linux fortunes classique, en latin), paganini, piano (jeux de son) reverse, blue (solitaires). carbo (jeux cryptographique) TicTacToe , forza4 (solitaire).

14. Combien de place libre y a t-il sur la disquette?

Sans commentaire.  

15. Floppy models

La commande mu -i permet la création de différents models de disquettes de typae 1440K ou 1770K. Par exemple, les deux modèles de disquettes BOOT+ROOT(1722K) et USR(1722K) permettent l'accroissement du nombre de programmes mis dans ROOT (/bin) et dans USR (/usr/bin).

Le modèles BOOT+ROOT(1440K) et USR(1722K) démarre plus rapidement. mu -i a un inconvénient : Les installer DOS ne peuvent choisir le modèle mais ils peuvent simplement accepter celui par défaut BOOT+ROOT+USR sur une simple disquette 1722K.

C'est parce que LILO n'est pas disponible en tant que programme DOS. Techniquement, construire un floppy est juste une commande équivalente à cat BOOT ROOT > /dev/fd0, lais LILO doit modifier le MBR.. Je ne sais pas comment le faire simplement sous DOS ( sans LILO). Après réflexion, je ne pense pas que la distribution 1 Floppy1440 soit une bonne idée

16. How can I personalize muLinux?

 Voir aussi le fichier doc/custom.txt dans l'archive de la distribution

16.1 Prérequis

Un noyau doit fonctionner pour faire o 'mu -r':

- loopback device support
  

Les bonnes versions de 'fdformat', 'lilo' and 'bzip2' sont incluses

16.2 Modules

 

La partition racine est sur le floppy, coupée en deux parties ( voir le paragraphe Que se passe t-il au moment du boot?. La première partie contient uniquement la structure des répertoires (/bin, /lib, etc.)

LA première chose à faire si vous voulez construire un muLinux personnalisé est de décompresser les images BOOT, ROOT, USR and X11 avec la commande mu -u. Ceci décompacter la partion BOOT dans le sous répertoire tree/startup et ROOT+USR+X11 dans le sous répertoire tree/.

Maintenant ajouter, permuter, détruisez toutes les commandes comme vous le désirez.

Si vous voulez changer le noyau, compilez le avec zImage et copiez le sous tree/startup/boot/mulinuz Les modules éncéssaires doivent être 'gzippés' et copiés dans tree/startup/modules/archive.tbz. (Voir tree/startup/modules/README,pour plus de détails).

Il est souvent nécessaire de spécifier des paramètres tels que (io, irq, et ainsi de suite) quand vous chargez un module. Si votre module X.o a besoin de paramètres spécifiques, écrivez les simplement dans tree/startup/modules/X.param en
insmod X.o `cat X.param`

 

Notez bien que vous avez à compiler ext2, DOS, le support de gestionnaire de fichier UMSDOS et le support RAMDisk direectement dans le noyau parceque ils sont nécessaires au moment du démarage pour les modèles muLinux UMSDOS.

Si vous jetez un coup d'oeuil dans le script mu , vous y trouverez une variable appellée BOOT_FREE. Avec celle ci, vous pouvez règler la place libre sur la partition BOOT, là où les configurations sont stockées de manière permanente et où vous voudrez sauver des choses de manière permanente, des adresses d'e_mail par exemple.

16.3 Touches de clavier

  Les Tables de touches de clavier personnalisées sont situées sous r tree/startup/init, dans keymap.tgz. Voir tree/startup/init/README pour les instructions de personnalisation.

16.4 Effets personnels

Vous pouvez sauver un mailrc et/ou un bookmarks.html dans tree/startup/init

16.5 Le répertoire /usr/bin

Vous trouverez le contenu de ce répertoire sous  tree/usr/bin. Vous pouvez changer le contenu de ce répertoire sans restriction. Si vous dépassez la taille disponible, c'est là que vous pouvez regarder en priorité si vous ne pouvez pas purger des commandes non utilisées. Rappelez vous que Lynx est le plus gros exécutable du floppy.

16.6 Reconstruire la disquette

Quand vous avez fini de personnaliser le système, tapez simplement


mu -r
mu -x   # this if for X11 subsection

pour reconstruire la disquette image. Portez toute votre attention aux éventuels messages d'erreur... Si tout se passe bien, vous pouvez rebooter votre propre nouveau muLinux. 

17. l'"addon" muLinux XWindow

Cet "addon" est composé d'un serveur VGA-16, des gestionnaires de fenêtres vwm95-2, Afterstep and wm2 et des applications XFM et File Manager. muLinux monte le contenu de ce floppy ( approximativement 4.2 M une fois décompressé) sous /usr/X11R6. Vous trouverez les nouveaux binaires et les nouvelles librairies sous /usr/X11R6/bin et /usr/X11R6/lib.

Les fichiers de configuration sont situés sous, le choix initial des développeurs de X11R6. Peut être voudrez vous jeter un œil sur les fichiers suivants :

XKB est déconnecté : les claviers nationaux sont directement exportés dans X. Finalement, un grand paquet de fontes sont supprimées.

En tout cas, vous trouverez les programmes X xcalc, xclock, xload, xhost, xmodmap, xsetroot, xinit, xcal, xmixer, pyro, xsnow et xterm (rxvt). xterm peut être utilisé pour lancer n'importe quel commande en mode texte (lynx, minicom, workbone, etc...); xhost est intererssant parcequ'il permet au serveur local d'afficher des applications qui tournent sur des stations de travail distantes.

Si vous avez 16 ou 32 M de mémoire, X tournera à une vitesse terrifiante!!!

18. L'"addon" EXT(tension) muLinux 

Ce floppy 17722K, apparu avec la version 6.0 est destiné à servir de lieu de stockage de modules du noyau, de programmes optionnels, etc. Actuellement : le serveur de souris gpm, le support SCSI, ssh (Secure Shell), lilo et syslinux (gestionnaire de démarage), mkisofs et cdrecord (pour la compilation de CD), sox et cdda2wav, la suite Samba v1.9.18a, etc. EXT est monté sur /usr/local/. ssh  

19. L'"addon" VNC muLinux 

XVnc X-Serveur (pour Virtual Network Computing) et ses clients dédiés SVGA-lib; visualisateur de vignettes d'images zgv

20. L'"addon" TCL muLinux  

Un floppy complémentaire pour muLinux permet d'ajouter un jeu de programmes applicatifs écrits en Tcl/Tk. Nécessite l'"addon" X11, beaucoup de ces programmes tournant sous X. L'auteur :Tom Poindexter, tpoindex@nyx.net.

21. L'"addon" TEX muLinux  

LaTex: TeX de formatage de texte pour les syste pour les systèmes UNIX Like , avec AMSTex (de l'American Mathematical Society) package, dvips, xdvi, etc.

Cet "addon" peut être utilisé comme un kit de dépanange professionnel des rédacteurs. Si vous travaillez comme reporter de guerre dans une zône de combat, et que vous deviez réécrire rn urgence le Book 8th, Conic's Section " d'Apollonio di Perga (je ne l'ai jamais trouvé... je suis preneur...)

22. L'"addon" GCC muLinux  

 

sur ce floppy 1722 K, vous pourrez trouver des utilitaires pour les développeurs en C:

  De plus, les vraies pages UNIX man et les sources des tests dans /gcc/usr/src

23. Reste à faire

 

24. A propos de ce document

L'original de ce document a été écrite en SGML, et ensuite traduit en utilisant le package sgml-tool.

Note du traducteur : la version française de ce document a été écrite en HTML, en utilisant un éditeur HTML classique.

Vous pouvez trouverez la version la plus récente de ce document, en anglais, à http://sunsite.auc.dk/mulinux/.

 

25. Télécharger muLinux

Cliquez ici.

 

 


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